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      Un pensez-y bien !  
       
      
    
     Les 
      bouteilles d'eau en plastique sont une source très importante de 
      pollution.  Mais cela n'est en fait qu'une partie de l'histoire. 
      Autant Pepsi (qui fabrique les produits Aquafina) que Coke 
      (qui fabrique les produits Dasani) puisent en effet temps leur eau 
      à embouteiller ... du système d'aqueducs publics.  C'est maintenant 
      confirmé par les compagnies elles-mêmes.  En d'autres termes, ce 
      qu'ils nous vendent, c'est tout simplement de l'eau du robinet, avec en 
      surprime une source de pollution additionnelle.  Un pensez-y bien.  
      À tout prendre, et pour le reste de l'été, pourquoi ne pas tout simplement 
      recycler vos vieilles bouteilles et les remplir vous mêmes à partir du 
      robinet ?...  Vous sauverez ainsi de l'argent et arrêterez de 
      contribuer, par le fait même, à enrichir encore plus des compagnies qui se 
      foutent littéralement de nous.  Ajouté le 7 juillet 2009. 
   
      - 
      
    
    Lisez ceci la prochaine fois que vous voudrez acheter 
    de nouvelles 
    
    
     bouteilles d'eau 
    
    
    
     En 
    ces temps de grosses chaleurs, les ventes de bouteilles d'eau montent en 
    flèche.  Pourtant, il faut savoir que cette industrie de l'eau en 
    bouteille est une véritable calamité pour l'environnement, et que cela 
    prendra près de 500 ans pour que toutes ces bouteilles d'eau puissent 
    un jour se décomposer.  Il faut aussi savoir que l'eau du robinet (dont 
    on peut aisément se servir pour remplir à volonté nos vieilles bouteilles) 
    est souvent aussi bonne que l'eau embouteillé.  Pourtant, il se vend, 
    bon an mal an, au sein de nos pays occidentaux, pour près de 100 
    milliards de dollars américains de ces fameuses bouteilles.   Ajouté 
      le 21 juillet 2008. 
     
   
      - 
      
Le 
      nouveau projet de loi des libéraux sur la protection de l'eau : une 
      fumisterie ! 
      "J’ai 
      lu avec soin ce projet de loi 92 (sur la protection de l'eau) et, encore 
      une fois, la ministre a su nous éblouir par un discours aux mots 
      réconfortants et mystificateurs". 
      
      Cliquez ici pour lire la suite 
      de cette analyse d'André Bouthillier, de la Coalition Eau 
      secours !, et publiée sur le site de l'aut' journal.  
      Très bien fait.  16 juin 2008. 
       
      Autre hyperlien à consulter : 
      ==> Pour se rendre sur le 
      
      site Internet de la coalition Eau secours ! 
      et lire différents autres 
       commentaires de spécialistes, dont 
      Daniel Green, de la Société SVP, de Martine Ouellet et 
       de Pierre-Louis Trudeau, tous deux 
      également membres d'Eau secours ! 
       
   
      - 
      
      
      La Coalition Eau Secours 
    appuie l'implantation de compteurs 
    d'eau pour les entreprises mais s'objecte en même temps à l'idée d'étendre 
      de tels compteurs à l'ensemble de la population 
    La Coalition Eau Secours, vouée à la 
      protection de ce bien commun essentiel, s'objecte en même temps aux 
    suggestions visant à ultimement privatiser la gestion de l'eau.  Cliquez ici pour visionner une 
    entrevue à la télévision de Radio-Canada avec une porte-parole de cette 
    coalition.  22 novembre 2007. 
       
   
      - 
      
      
      La ville de Westmount décide finalement de redonner 
      la gestion du système d'aqueducs aux cols bleus et économisera ainsi au 
      moins 200 000$ par année 
      Entrevue réalisé et publié le 29 août 2007 par l'aut'journal, avec 
      le président du syndicat des cols bleus de Montréal (section locale 301 du 
      SCFP-FTQ), Michel Parent, à propos de cette très bonne nouvelle qui nous 
      rappelle en même temps combien la privatisation de nos services publics 
      n'est généralement pas synonyme d'économies pour les contribuables.  
      Bien au contraire. 
       
   
      - 
    
    
    L'eau en bouteille : plus chère que l'essence.  Mais 
    pourquoi payez-vous un tel prix ? 
    Un reportage de l'émission la Semaine Verte, à la 
    télévision de Radio-Canada, produit il y a déjà  un certain temps mais 
    qui garde encore toute sa pertinence. 
    Le reportage se penche  sur les 
    profits exorbitants que génèrent la vente de bouteilles d'eau et dont la 
    qualité est souvent similaire à celle de l'eau du robinet.  La 
    différence principale ?  Le contenant de plastique que vous payez et 
    qui devient alors une source potentielle importante de pollution.  Sans 
    parler de l'énorme marge de profits dont se font les producteurs de ces 
    bouteilles.  Le prix de ces bouteilles peut même être supérieur à ce que vous 
    payez pour un litre d'essence. 
  
       
      - 
    
    
    
    Levée de boucliers sur la question de l'eau et de sa 
    commercialisation 
    En marge d'une conférence qui se tiendra sous 
    peu à Calgary entre le Canada, les États-Unis et le Mexique pour discuter de 
    la faisabilité d'étendre la commercialisation des réserves d'eau, plusieurs 
    groupes et formations du Québec, dont Québec solidaire et la 
    coalition Au secours, élèvent la voix. L'eau n'est pas un bien qui 
    devrait être considéré comme n'import quelle autre marchandise, de dire 
    Amir Khadir, un des deux porte-parole de Québec solidaire.  Au Canada 
    anglais, c'est le Conseil des Canadiens qui sonne l'alarme. 26 avril 
    2007. 
     
  
       
      - 
    
    
    
    Des négociations secrètes pourraient commencer sous 
    peu entre le Canada et les EU en vue de permettre l'exportation en masse de 
    l'eau en vrac vers nos voisins du Sud 
     
  
       
      - 
    
    Selon le Conseil des Canadiens, un groupe de 
    pression au Canada anglais, des négociations secrètes impliquant des haut 
    fonctionnaires canadiens et des représentants des États-Unis  pourraient 
    commencer sous peu pour faciliter l'exportation à grande échelle des 
    réserves d'eau existant au Canada. 14 avril 2007. 
     
  
       
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    Québec solidaire joint sa voix à ceux et celle qui 
    s'oppose au projet sur la rivière Rupert 
    Québec solidaire 
    appuie les opposants cris et les groupes environnementaux du Québec qui 
    exigent un moratoire d’un an pour le projet de dérivation de la rivière 
    Rupert, afin d’évaluer adéquatement les conséquences environnementales de ce 
    projet et les alternatives possibles. 
       
     
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